0

Quitter la France pour échapper à sa fiscalité ?

Qui n’a pas déjà envisager de quitter la France pour fuire une fiscalité souvent juger trop libre … Quelle serait la destination idéale ? Francophone, avec le soleil et la mer, et avec une fiscalité toute en douceur. Quelques îles peuvent répondrent à ces critères : les Seychelles (paradis fiscal réputé) mais aussi l’Ile Maurice.

C’est vers cette dernière que se tourne un certain nombre de ressortissants français, le gouvernement mauricien faisant bien des efforts pour attirer de nouveaux émigrants … si possible fortunés … mais les exigences patrimoniales de l’Ile Maurice ont été revues à la baisse, .

Il fallait un patrimoine très conséquent, jusqu’à il y a peu pour rentrer dans les critère de l’IRS (Régime d’accession à la propriété mauricien). Il fallait au principal pouvoir mettre officiellement au moins 370000 euros sur la table pour acheter une habitation « immigrant compatible » sauf que l’on ne trouvait aucun bien compatible avec ce budget et qu’il fallait souvent investir le double … Mais il y a 4 ans, le Gouvernement de l’Ile Maurice à changer de stratégie à passer la limite basse à 200 000 euros tandis que les promoteur se mettait à proposer des appartements élégants pour de tels budgets.

200 000 euros dans un logement, au moins 30 000 euros par an qui tombe sur votre compte bancaire et vous pouvez prétendre à un permis de séjour (valable trois ans, prolongeable dix ans).

Le gouvernement mauricien a bien fait les choses jusqu’au bout : les formalités pour s’installer sont effet simplissimes. Il suffit que le retraité alimente son compte bancaire à Maurice de 30.000 euros chaque année pour obtenir en 72 heures un permis de résidence valable trois ans. A l’issue de cette période, le permis de séjour est prolongé de 10 ans, à condition de continuer à remplir l’obligation des 30.000 euros annuels.

Et a vous le soleil, la mer … et la fiscalité avantageuse ! Une taxation de vos revenus, quelqu’en soit leur montant, à hauteur de 15% et rien d’autre … Pas d’ISF, pas de droit de succession à l’Ile Maurice. Certes, il vous faudra y passer a minima de grandes vacances, puisqu’il faut trois mois de présence pour pouvoir prétendre à ce régime local (tandis qu’en France vous devrez vivre au moins la moitié de l’année ailleurs pour échapper à la fiscalité !).

La destination intéressera, dans ces conditions principales ceux dont la vie et le patrimoine sont faits … mais aussi peut être les adaptes du télétravail suffisamment studieux pour ne pas passer leur journée à la plage. Monter un blog sur la finance, et partir à l’Ile Maurice, voilà une idée !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.